Connaissance... [PV: Rose...]

Connaissances.
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Rose E. Smith & Glenn P. Aggles

King’s Cross, gare de Londres. Comme toujours moldus et sorcier se mélangent sur les quais. Mais un seul est inaccessible aux moldus, le quai 9 ¾. Le portail se trouve entre le quai 9 et 10. Il suffit de le franchir sans être vu. Glenn se souvient de la première fois où il l’a franchit, c’était un premier septembre, accompagné de sa mère, et des instructions du professeur qui était venue lui expliquer le déroulement, car le jeune blond est d’origine moldu. Quand il avait franchit le ce portail, il se retrouva sur un autre quai, gigantesque. A cette instant, il fut émerveillé par ce qui se trouvait devant lui. Un train, rouge vif, avec le logo de l’école sur les portière. Sa carrosserie étincelait et des volutes de fumées s’élevaient de la cheminée, pour encombrer le quai de cet épais nuage.
Puis il avait prit place dans un compartiment en faisant des signe d’au revoir à sa mère à travers la fenêtre. Juste après le départ du train, un garçon aussi âgé de onze ans, venait demander si il pouvait s’installer dans ce compartiment. Bien entendu, Glenn accepta, et le garçon s’installa. Jamais à ce moment donné, il aurait pensé que dans deux ans, les deux garçons allaient sortir ensemble.
Aujourd’hui, Glenn se retrouvait dans le même train en compagnie toujours du petit garçon de onze ans, qui avait grandit, il s’appelait Gabriel. Et en face des garçon, se trouvait une jolie jeune fille du nom de Rose. Alice n’était pas là, car elle était parti rejoindre son petit-ami à bord du Poudlard Express; bien entendu, elle s’était abstenu de lui dire qui était ce garçon. Pourtant Glenn s’en moquait royalement. Elle était libre, et assez grande.
Cela faisait maintenant une demi heure, que le train s’était éloigné du quai de la gare King’s Cross. Comme toujours le Poudlard Expresse était parti à onze heure précise, et longeait le paysage Anglo-saxon, qui défilait comme un film sur les fenêtre. Poudlard était un de ces lieux magnifiques, om l’on se sent chez soi, dès le premier pas posé sur le parc. Mais Glenn avait vu le ministère s’immiscer dans l’école, ce qui provoqua par conséquence, la détérioration de l’ambiance chaleureuse. Un nouveau directeur, de nouvelle règles…
Les rayons du soleil se filtraient à travers la vitre, pour plongée le compartiment d’une couleur orangée. Glenn était blottit contre Gabriel. Celui-ci s’était endormi. Car en effet, les deux jeunes garçon étaient sortis faire la fête la veille, dans une boîte de nuit moldu. Gabriel n’y avait jamais mit les pieds, se qui entraîna des moment assez comique. Comme par exemple, quand il goûta à un cocktail sans effet magique. Cette pensée fit sourire le jeune blond.
Même pas quinze minutes après le départ du train, Gabriel s’était endormi les bras autour de Glenn. Celui-ci plaqué sur son torse. Glenn adorait ces moments de calme et de complaisance.
En face de lui, se trouvait la dénommé Rose, qui avait un léger sourire sur les lèvres. Il l’a connaissait peu, et savait que elle était la meilleure amie de Gabriel, et qu’elle était vraiment très douée sur un balai.
Elle était éveillée alors pourquoi ne pas en profité pour faire un peu connaissance, pendant Gabriel fait son dodo?
Il tourna son regard vers elle, mais au même instant, une tête brune se plaça devant la porte du compartiment. C’était Jade! Une serpentard qui détestait Glenn pour la simple raison que celui-ci aimait bien sa sœur jumelle.
Il prit sa baguette magique et la pointa vers la porte. Il utilisa des sortilèges informulés, ce qui engendra un CLAC sonore. Il avait verrouillé la porte, qui ne pouvait être désormais, que ouvrir de l’intérieur. Et dans les secondes qui suivirent, les rideaux se tirèrent d’eux-mêmes. Puis il reposa sa baguette magique sur la tablette près de la fenêtre. Il n’avait pas bougé de sa place, pour ne pas réveiller Gabriel.
La dénommé regarda ce qui se passait, et tourna la tête vers Glenn.
Celui-ci lui sourit.

« Elle ne nous aurait pas lâché! »

Puis il sourit de plus belle, et se mit à rire. Gabriel bougea légèrement derrière lui, mais resta endormi. Glenn ne pas le réveiller rigola moins fort. Puis tourna un visage rieur vers son petit-ami. Maintenant quatre ans, qu’ils sortaient ensemble, et c’était le bonheur complet! Dès leur rencontre dans le Poudlard Express, ils étaient devenus amis. Puis aux cours, des années suivantes, une relation fusionnelle s’était créée. C’est pendant les vacances avant leur 3ème année qu’ils sortirent ensemble. A ce moment précis, il était dans la chambre de Gabriel. Puis le blond l’embrassa comme une envie qui le dévorait. Ils acceptèrent de sortir ensemble, mais de cacher leur relation à l’école.
Puis lors de leur année de BUSE, Poufsouffle gagna la coupre de Quiddit ch contre les Gryffondor. Glenn s’était laors précipité sur le terrain, et avait déposé un baiser sur les lèvres de son petit-ami. Depuis ce jour, ils vivaient leur relation au grand jour. Mais les nouvelles règles qui règnent aujourd’hui, à Poudlard, ils doivent se cacher. Car les règles stipule que tous couples d’élève, ne doit pas s’embrasser, ou s’enlacer, dans les couloirs de l’école. Au moins, ils pouvaient se tenir la main, pensait joyeusement Glenn. De toute façon, c’étaient leur dernière année.
Il dirigea son regard vers le visage endormi de Gabriel, toujours endormi, puis revint sur Rose.

« Il est de bonne compagnie! »

Pendant ses paroles, il le désigna d’un signe de tête, puis sourit de plus belle, montrant une dentition parfaite;

. . . .

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Seulement parler, s'écouter. Juste
faire connaissance.

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Juste un peu en retard, Rose était vraiment mais très légèrement en retard, son visage était rouge et la jeune fille paraissait avoir courut un marathon, bon c’était presque cela à par que la marathon se déroulait entre sa chambre et la salle de bain. Aujourd’hui c’était sa mère qui la conduisait à la gare King’s Cross puisqu’elle avait passé ses deux dernières semaines de vacances avec elle, deux semaines entre femmes comme elles les aimaient entre ciné et pizza. Allez plus que les chaussures à mettre… et voilà, Rose dévalait comme une fusée l’escalier de chêne se postant devant sa mère qui attendait à l’entrée, celle-ci feinta une mine sévère, mais peine perdu elle éclata de rire, en avouant que Rose était bien sa fille.
L’auto radio en route, mère et fille arrivèrent dans la bonne vieille ville de Londres et chantant et riant aux éclats, ces moments étaient devenus rare depuis le retour de Mr Smith et surtout depuis qu’il a réclamé son droit d’avoir sa fille près de lui. Mais cette obligation pour elle de retourner presque à chaque vacance chez son père ne fera pas changer les avis qu’elle a pour sa belle mère et sa demi-sœur, oh non certainement pas.

Les rires se turent quand la jolie voiture rouge bordeaux de sa mère s’arrêta, Rose la regarda dans les yeux et se blotti dans ses bras. Après quelques minutes passé dans le confort des bras maternels, Rose se dégagea et déposa un baiser sur la joue de celle-ci, puis sortis de la voiture avec sa grosse valide pleine à craqué et surtout très lourde. Rose traîna tant bien que mal sa valise jusqu’à un chariot, le plus dure fut de la déposer dessus, mais cela se réalisa seulement grâce à une âme charitable l’ayant vu en grand besoin. La jeune fille regarda sa montre en argent 10h49, plus que 11 minutes, elle poussa son chariot à toute allure dans la gare, ne manquant pas de recevoir des remarques péjoratives de certains moldus sur son manque de politesse. Elle passa la barrière qui séparé le monde magique et le monde moldus, ce soir elle serait enfin dans sa deuxième véritable maison.

Pfiou son bagage était quand même monté dans le train, il ne restait maintenant plus qu’à le traîner jusqu’à un compartiment libre ou contenant Gabriel, son meilleur ami à Poudlard, la jeune fille l’a rencontré le jour de la répartition, ils avaient tout de suite sympathisé. Elle regarda à travers la fenêtre d’un compartiment, elle n’eut même pas le temps de regarder qui s’y trouvait que deux bras l’encerclèrent et la soulevèrent, elle éclata de rire devenant ce geste, bien sûr il ne pouvait s’agir que de Gabriel, celui-ci n’était pas seul, il était en compagnie de Glenn, son petit depuis maintenant pfiou, elle comptait plus, depuis un moment en va dire. Elle salua Glenn, puis laissa bien volontiers Gabriel s’occuper de sa lourde valise.

Rose s’installa en face des deux amoureux, attendant le départ du train, heureusement pour elle, qu’elle n’était pas préfète sinon elle aurait dû bouger alors que ces pieds en pouvaient plus après avoir traîner cette énorme valise, pourtant elle n’était pris que le stricte minimum et bien sûr , bon son chat n’était pas le minimum, elle aurait pu le laisser auprès de sa mère, mais elle ne pouvait s’en séparer, elles l’avaient choisi toutes les deux et ce chat était unique pour elle. Elle préféra laisser Lestat dans son panier pour pas que celui-ci fasse de bêtise, il pourra très bien se dégourdir les pattes arrivé à Poudlard.

La brune jeta un regard à travers la fenêtre du compartiment, à chaque traverser, elle ne se lassait jamais d’admirer les paysages qui défilé, ils étaient totalement superbe, mais ils ne valaient pas ceux qu’elle avait vu en voyageant avec sa mère. Ses yeux dévièrent vers les deux amoureux enlacés, franchement pour elle, il n’y avait pas de couple plus mignon et Glenn convenait très bien à Gabriel, celui-ci semblait dormir comme une marmotte dans les bras de son petit ami, elle sourit à ce tableau. Sourire qui fut vite effacé quand la porte du compartiment s’ouvrit, c’était Jade Shadow, une serpentard détestable qui passe son temps à ennuyer les autres maisons et les premières années, Rose ne lui avait jamais adressé la parole et elle préférerait ne pas commencer aujourd’hui. Avant qu’elle n’ait sortie sa baguette pour verrouiller le compartiment, Glenn fit la chose, elle étouffa de rire et le jeune fille de même en imaginant la tête de la vert et argent.

Glenn tourna son regard vers elle, puis sûr Gabriel qui n’avait pas bouger. Le silence se brisa après que Glenn eut dit « Il est de bonne compagnie! », Rose acquiesça un sourire puis lui répondit :

- Oui, mais j’espère qu’il ne ronfle pas.

Elle regarda l’endormi attendrit, Gabriel était très important pour elle, il faisait un peu comme office de famille à Poudlard, il partageait beaucoup de points communs notamment en Quidditch, puisqu’ils jouaient tout les deux dans l’équipe.

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Le temps de la connaissance.

Il regarda la jeune fille tourner son regard plein de tendresse sur Gabriel. Il savait ce que représentait ce garçon pour elle, Gabriel lui en avait parler. Il était une sorte de deuxième famille pour elle à Poudlard. Et Glenn l’avait remarquer avec le temps, que le comportement de Gabriel envers Rose n’était pas seulement celui d’un meilleur ami, mais aussi le rôle de grand frère. Gabriel lui avait expliqué qu’ils s’étaient rencontrés lors du jour de la répartition de la jeune. A ce moment, Gabriel entamait sa seconde années dans l’école de sorcellerie. Cette vision lui rappela l’entente que lui aussi possédait avec sa sœur. Leur enfance n’étant pas rose, ils avait construis une relation fusionnelle, ou l’un comme l’autre pouvait compter sur l’autre. Glenn espérait que Rose, se rendent compte elle aussi, que elle pouvait compter sur lui. Car une phrase dit: « Mes amis sont tes amis, comme les tiens sont les miens! ».
Glenn avait déjà une sorte de famille à Poudlard, sa sœur Alice, et son petit-ami, Gabriel. Il pouvait toujours l’agrandir. Il adorait ces moments de compagnie à Poudlard, mais ils étaient très rares. Car en effet, Glenn était en dernière année à Poudlard, comme Gabriel, et étudiait beaucoup de matières. Au total, l’emploi du temps du blond était composé de onze matières, qui le préparait aux A.S.P.I.C’s. A la fin, de sa cinquième année, Glenn obtenait douze BUSE’s, « Optimal » à chaque. Mais il choisit d’en continuer onze, pour que tout rentre dans son emploi du temps.
La plupart de ses soirées, il les passait dans la bibliothèque del’école, jusqu’à des heures très tardives, ce qui déplaisait fortement à la bibliothécaire, qui à chaque fois, le suppliait de partir. Mais Glenn tenait absolument à faire ses devoirs. A sa sortie, il voulait avoir un large choix pour continuer ses études. Mais il pensait fortement, rentrer dans la filière de la médecine, comme son petit-ami Gabriel, qui faisait des études pour.
Glenn était un jeune plein de ressources, car en plus d’être le meilleur élève de l’école. Glenn est un animagi. C’est lors de quatrième année, en métamorphose, comme étant avancé sur le programme, le professeur lui donna comme devoir supplémentaire de faire un dossier sur les animagi. C’est lors de ses recherches, qu’il apprit comment en devenir un. Donc pendant six mois, il s’est entraîné, pour réussir le huitième mois à devenir un tamarin dorée, une race de singe assez rare. Il s’est rendu compte que cet animal était le miroir de son caractère. Mais il ne sait jamais déclaré, de peur que le ministère déjà dans les affaires de Poudlard, ne se mettent aussi dans les siennes.
Peu de personne dans l’école savent que le jeune blond en est un. Juste Gabriel, et Alice sont au courant. Et il sait parfaitement que aucun des deux ne dira son secret.

Le train continuait son chemin dans les collines du pays. Le soleil s’abaissait pour laisser bientôt la place à la lune, et ses amies pour nous offrir une danse nocturne. Glenn était toujours dans les bras de Gabriel, celui toujours endormit par sa soirée d’hier.

« Oui, mais j’espère qu’il ne ronfle pas. "

Rose avait plaisanté sur son meilleur ami. Glenn était heureux qu’elle soit si accessible de parole. Car certaines personnes étaient butées, et ne parlait à personne. Mais cette jeune fille paraissait très sociable, et amusante. Elle avait un air de malice. Il avait remarquer le mimique malicieuse qu’elle avait eu en tournant son regard vers Gabriel. « Ayé! » pensa intérieurement Glenn. La parole était lancé, ils vont pouvoir enfin faire connaissance. Malgré qu’ils ont un an d’écart dans les études, ils n’ont jamais vraiment eu le temps de se parler. A part, quelques bonjours dans les couloirs, les deux protagonistes ne se sont jamais vraiment parler. Il ne savait même pas ce qu’elle étudiait.
Il tourna son regard encore une fois vers son petit-ami, il adorait le contempler, il était tellement beau.
Puis il revint en souriant vers Rose.

« J’en ai jamais eu à me plaindre ! Sinon, comment se fait-il qu’on ai jamais eu le temps de vraiment se parler? »

Il sourit de plus belle pour accompagner ses paroles, et pour lui montrer que ce n’était pas méchant. Il se passe une main dans les cheveux, un peu long en ce moment,. Il fallait qu’il les raccourcissent un peu. Il ferait sa plus tard, dans la salle commune de Serdaigle. Cela lui rappela sa chambre, avec le lit en Baldaquin. Mais cela le rendait triste, il ne pourrait pas dormir avec Gabriel ce soir.
Glenn avait le regard rieur vers Rose, et attendait sa réponse. Glenn avait des mimiques de Gabriel, et cela l’amusa.

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Un regard loin vers
l'horizon ...

Rose contemplait l’horizon, que c’était beau tout ces lacs, cette verdure, cela lui rappelait bon nombre de ses souvenirs en compagnie de sa mère. Cette mère qui l’a élevait lui semblait bien loin en ce moment, heureusement elle allait retrouver James, celui qui après sa mère occupait une place importante dans son cœur. Si le jeune homme ne se trouvait pas avec elle en ce moment, c’était parce qu’il avait la malchance d’être préfet, bon c’était seulement elle qui disait que c’était une malchance, mais il ne fallait surtout pas le dire.
Si Rose s’avait correctement dessiné elle aurait à coup sûr pris un chevalet et une toile pour marquer à jamais un des paysages qu’elle voyait, mais hélas on ne peut pas toujours avoir des qualités et les ses dessins ressemblaient surtout à un gribouillage, si c’était de l’art on le qualifierai d’abstrait puisqu’on ne pouvait jamais rien distinguer.

Rose regarda de nouveau Gabriel qui tenait toujours Glenn dans ses bras, elle espérait vraiment que leur histoire dure, Gab était vraiment très heureux et depuis le début de son histoire avec le Serdaigle, elle ne l’avait jamais vu triste. Et de toute façon si Glenn faisait souffrir son meilleur ami, il allait en entendre parler du pays, ça c’était clair, ce jour là, il saura vraiment qui est Rose Elizabeth Smith.
Alors qu’elle ne s’attendait pas à une réponse de Glenn, celui-ci lui répondit qu’il n’avait pas à se plaindre et que Gabriel ne ronflait pas, puis il lui demanda pourquoi il n’avait pas encore fait connaissance. Il est vrai que ce moment là aurait dû arriver il y a bien longtemps, mais Rose n’avait pas envie de déranger le couple pendant qu’il était ensemble. Elle regarda de ses yeux bleus Glenn et lui répondit.

« - Votre couple ne me dérange pas bien au contraire, il est tellement mignon que je n’aimerais pas imposer ma présence pendant que vous êtes ensemble et comme à chaque fois que je t’aperçois c’est quand tu es avec Gab. »

Rose marqua un bref arrêt pendant lequel elle profita de regarder de nouveau à travers la fenêtre du compartiment, puis elle ajouta de nouveau :

« - Je pense que c’est la meilleure réponse possible à ta question. »

Rose acquiesça un sourire à Glenn et leva brusquement les yeux vers le panier en osier de son chat, qui venait brusquement de feuler, comme un tigre. Le voyage ne devait pas lui plaire, Rose avait deux solutions, soit faire la méchante et le laisser dans le panier, après tout avec toutes les bêtises qu’il fait cela serait bien normal, soit le laisser sortir mais le garder dans ses bras. Impossible de faire la méchante, elle avait toujours tout pardonner à son chat, même la fois quand il avait brisé une statuette offert par sa mère. Rose ouvrit la petite trappe du panier et en ressortit un chat noir, mais qui avait les yeux violet, tout comme la Poufsouffle, le chat était lui aussi Sang Mêlé, d’où l’étrange couleur de ses yeux, sinon on pouvait vraiment dire que Lestat était un chat Moldus.

L'horizon amical...

Glenn leva la tête, dans un boîte en osier, un chat se débattait pour sortir de sa prison provisoire. Mais Rose, en chère Poufsouffle, ouvrit la porte du panier, d'où en sortit un chat noir aux yeux violets. "Peu commun!" pensa Glenn. A la vue de ce chat, des souvenirs revinrent à l'esprit du jeune Serdaigle. Il se souvint d'un moment triste de sa vie, lors de ses sept ans. Glenn et Alice possédait un chat roux, du nom de Citrouille. Ils adoraient ce chat, toujours à jouer, faire des bêtises. Mais avec l'âge, Citrouille perdut la vue. Son père, homme méchant et sans coeur, avait dit que leur chat était devenue une épave, et qu'il devrait mourrir plutôt que de polluer la maison. Malgré les critiques de ses enfants, Paul Aggles, prit le chat et sa carabine, et partit avec sa voiture. Il était revenu même pas une heure plus tard, disant que leur chat était mort.
Bien entendu, cette action de leur père provoquèrent une prise de tête sans nom. Les semaines qui suivirent, les deux enfants ne lui adressèrent pas la parole. Depuis ce jour, le jeune Glenn décida de ne plus avoir d'animaux dans la crainte que son père le tue. Aujourd'hui encore, Glenn ne possède pas d'animal. Même sa chouette ne lui appartient pas, elle est libre!
Le train continuait sur sa lancée, entrainant toujours le paysage dans son sillage. C'était vraiment merveilleux, les plaines vertes qui s'étendaient sans retenues! Il avait son appareil photo, mais il se trouvait dans sa valise, et il ne souhaitait pas réveiller Gabriel.

« Je pense que c’est la meilleure réponse possible à ta question. »

Rose avait répondu sincèrement à Glenn. Elle ne souhaitait pas les déranger, et pourtant ce ne serait pas le cas. Glenn et Gabriel appréciait la visite de personne qu'il appréciait. Il y en a une à qui ça ne dérangeait pas de les laisser seuls. C'était Alice! Elle venait toujours les voir, ce qui ne les dérangeaient pas. Alice était la jeune soeur de Glenn, et il avait une relation fusionelle avec elle, et avec le temps, Gabriel a commencé à la considérer comme sa petite soeur. Donc le fait que la jeune Rose vienne les voir quand ils sont ensembles, ne les gêneraient pas. Mais Glenn pouvait comprendre son comportement, il avait le même quand il l'a voyait elle, Rose, avec son amie Gryffondor, James. Mais c'était sa dernière année à Poudlard, et souhaitait profiter des personnes qu'il appréciait avant de les quitter.
Rose lui souriait avec son chat dans les mains.

"C'est une réponse! Et sincère en plus, et je peux comprendre. Mais sache que tu peux venir, personnellement, cela ne me dérangerait pas. Et pis, je pense que Gabriel serait content. Et sache aussi, que James est le bienvenue. Mais je lui ai déjà dit!"

Glenn sourit de plus belle. Il est vrai qu'il a dit plus d'une centaine de fois, que si il voulait venir le voir, il pouvait. Même s'il était avec Gabriel. Mais toute personne est libre de faire ses choix. Comme le choix de James, ou plutôt ses obligations de préfet. Glenn n'avait jamais été nommé préfet pour son plus grand plaisir. Pourtant tout le monde, à la fin de la cinquième année pensait que ce serait lui le nouveau préfet de la maison Serdaigle. Mais non, ce fut un de ses camarades de classe, très discret et docile. Aujourd'hui, la plupart des élèves en faisait ce qu'il voulait. Mais cette équilibre est rattrapé par la préfète qui prend ses responsabilité très à coeur.

"Pauvre James. Faire le tour dans le train!"

Cette phrases fit sourir Glenn. Il avait le pressentiment que Rose pensait pareil que lui. Pourquoi? Il ne le savait pas. Mais il se doutait que Rose devait être comme lui à espérer de ne pas devenir préfet.

. . . .

. . . .
Quand le chat - n'est pas là - (s'endort)
les souris dansent.

Rose serra la boule de poil qui lui servait de chat contre elle, Lestat était énormément tenté de se glisser hors de ses bras pour pouvoir aller vagabonder comme il le souhaitait dans le train, mais elle ne pouvait s’y résoudre, sûrement de peur de le perdre à tout jamais. Cela pouvait paraître ridicule de s’attacher ainsi à un animal, mais c’était comme cela et personne ne pouvait rien changer. Elle se souvient avec amusement la première fois que le chat avait vu James, celui-ci voulait bien sûr passer un peu plus de temps avec elle, c’était avant qu’elle ne réalise qu’elle avait de profond sentiment pour le jeune homme, le chat avait sûrement senti que Rose ne voulait pas voir le Gryffondor alors il lui a tout simplement empoigné la jambe pour mieux y planter ses griffes. La jeune Poufsouffle n’avait même pas enguirlander son chat et était parti dans une autre direction, oui James a eut beaucoup de mal pour sortir avec elle, mais il a sût dompter l’animal qu’elle avait en elle.

Rose sursauta quand elle sentit le chat lui enfoncer légèrement ses griffes dans son bras, étant sûr que le chat la comprendrai elle planta son regard dans celui violet du chat puis elle dit :

- Maintenant Lestat tu te calmes, c’est soit ça ou le panier.

Le chat baissa les oreilles, ce qui voulait dire qu’il était mécontent, Rose éclata d’un doux rire cristallin puis elle regarda Glenn qui était lui aussi en train de rire. Celui-ci lui dit alors que ça présence ne le gênait pas du tout et qu’elle était la bienvenue ainsi que James.
Il était de notoriété publique que James faisait parti des meilleurs amis de Glenn. Rose souria de nouveau, il était vraiment rare de la voir pleurer, les seules larmes qui coulaient le long de ses joues étaient souvent dû au vide que lui procuré l’éloignement avec sa mère et cela arrivait couramment quand elle était chez son père et Meredith.

- D’accord, mais si un jour tu veux plus de ma présence dit le moi, je sais à quel point je peux être agaçante.

Agaçante était un mot très fort, mais cela Rose ne s’en rendait pas compte. Pour elle son trop plein de bonne humeur pouvait déranger énormément les autres, mais pendant que certains étaient tristes son sourire et sa joie pouvait faire oublier de nombreux soucis. Rose tenait se caractère de sa mère, quand on les voyaient ensemble on dirait plutôt deux sœurs étant donné que la mère avait le même mental qu’une jeune fille de seize ans, elles avaient les mêmes passions, les mêmes blagues en commun. Pour Rose sa mère était une figure bien sûr maternelle, mais elle faisait aussi office de grande sœur, meilleure amie, confidente et même de psy par moment. Sa mère avait été la première personne auprès de qui elle s’était confié quand elle fut sûr de ses sentiments pour James.
La jeune femme fut arraché de sa rêverie par Glenn qui lui fit remarquer que James devait malheureusement faire le tour du train a essayé de contenir les premières années et quelques Serpentard à la langue bien acéré.

- Oui il n’a vraiment pas de chance, pour rien au monde je ne voudrais être préfète.

Ben oui, si elle était préfète adieu les petites balades nocturnes en solitaire qu’elle s’offrait, elle ne pourrait presque plus transgresser le règlement sans recevoir des réprimandes des professeurs qui lui ferait part de leur déceptions. Oui la vie de préfet n’était vraiment pas une partie de plaisir !

[HJ: J'ai eu une soudaine envie d'écrire.]

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Penser est une affaire intime.

Le train devait être à mis chemin. Les nuages commençaient à obscurcirent le ciel bleu azur. Le beau Poufsouffle continuait de dormir à point fermé dans le dos du blond. Jamais il ne l'avait vu aussi profondement endormi. La fête ne lui réussissait pas. Glenn avait l'habitude de très peu dormir la nuit, la raison, pendant les vacances d'été, il était danseur dans les boites de nuit moldus. Au départ, le beau Gabriel n'était pas d'accord sur cette activité, la jugeant dégradante pour le serdaigle. Mais Glenn avait besoin d'argent, car les économies de sa famille étaient toujours en train de se faire dilapidé par Paul, son père. Puis il repensa à sa mère, qui se trouvait maintenant toute seule aves son con de père. Depuis le départ de ses deux enfants à l'école de sorcellerie, Erin avait reprit un boulot à temps partiel, pour qu'elle s'offre des petits plaisirs de la vie. Car avec les années, la vie de famille était partie. Le père de Alice et Glenn buvait de plus en plus, et Erin fuyait son foyer. De peur de perdre sa mère, le blond envoyait au moins une fois par semaine une lettre à sa mère, et elle était dans l'obligation de répondre pour ne pas se retrouver la main piquer par le bec de sa chouette. Souvent, deux jours après l'envoie, la belle chouette revenait avec deux enveloppes. Une destinée à lui, et l'autre à sa soeur cadette. Leur mère ne comprenait pas les sorciers, comme elle disait, ils pourrait avoir le téléphone. Mais les sorciers appréciaient peu le technologie moldue. Il y avait un autre moyen, mais Glenn ne voulait pas le faire de peur d'effrayer sa mère. Il pourrait envoyer son patronus avec un message de sa propre voix, mais s'y résignait à chaque fois.
Son père après six ans que son fils et sa fille était des sorciers, n'acceptaient toujours pas la réalité, et ce qui aggrava son penchant pour l'alcool déjà existant. La vie a parfois une drôle de tournure.
Il fut éveillé de ses pensées par la voix de Rose, qui plaignait elle aussi le sort du pauvre gryffondor. Jamais il n'aurait pu l'être pour avoir, et continu encore, à contourner le règlement. Comme l'usage de la magie en dehors des cours. Mais la plupart du temps, ces sortilèges lancés étaient pour faciliter la vie des gens. Jamais il n'avait lancé un sort contre une personne juste pour s'amuser. Il n'était pas un Serpentard, et l'avait tellement vécut lors de sa première année, qu'il décida depuis ce jour, d'éviter que d'autres les subissent. Parfois dans les couloirs, il voyait des gens qui s'appretaient à lancer des sorts contre une autre sorcier. Mais le blond doué pour les sortilèges informulés, faisait apparaitre un mur de protection invisible. Et la plupart du temps, le sort ricochait contre le mur, pour finir sa course sur une statue, ou encore mieux, sur le sorciers qui l'avait lancés. Un fois, un gryffondor de quatrième année se retrouva avec deux longues dents sur le devant. Il dut aller à l'infirmerie, et bien entendu, coller, car il avait eu la mauvaise idée de raconter la vérité.
Le blond regarda le paysage qui défilait par la fenêtre du compartiment. Des élèves passaient dans le couloirs, puis il entendit le chariot de friandises. Mais il n'avait pas faim, et puis la porte était bloquée. En y repensant, il prit sa baguette sur la tablette, et enleva l'enchantement qui stagnait sur la porte. Puis les rideaux reprirent leur place d'origine. Le chat de Rose, avec ses yeux violets, le regardait comme si il avait faite quelque chose de mal. Jamais il n'avait vu un chat pareil, sauf peut-être chez les animagus. Car Glenn était connaisseur, il en était un. Un tamatin, exactement. Mais personne ne le savait à part son petit-ami, et sa soeur. Puis il regarda encore une fois le chat, puis remonta son regard vers le visage de Rose

"Tu veux un chocogrenouille, ou des dragées?"

En prononçant ses paroles, il sortit de la poche de son pantalon une bourse en cuir marron usé par le temps. Il y tenait particulièrement, car c'était Gabriel qui lui avait offert à son anniversaire, lors de leur première année. Elle avait vécut, mais tenait le coup. De toute façon, l'argent ne coulait pas à flot dedans. Mais il vivait quand même.
Il attendit un peu que les élèves arrêtent de s'entaser sur la marchande, et la réponse de la jolie Rose.

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