Glenn Aggles } Staff

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« IDENTIFICATION.

NOM : Aggles
PRÉNOM : Glenn Paul
SURNOM : Glen'
ÂGE : 17ans
DATE & LIEU DE NAISSANCE : Juillet 2028 à Dublin en Irlande
MAISON SOUHAITÉE : Serdaigle
ANNÉE SOUHAITÉE : 7ème Année

« DÉTAILS DU PERSONNAGE.

ANIMAL DE COMPAGNIE : Aucun
CE QU'IL / QU'ELLE AIME : Glenn aime la dance, la photographie, et les moments de solitudes.
CE QU'IL / QU'ELLE N'AIME PAS : Il déteste énormément de choses, par commencer par la connerie des gens, les gens cons, ou le pouvoir de certaines personne. Et il déteste par deçu tout la mort, c'est sa phobie. Mais actuellement, ce qu'il n'aime pas, est la déroute que prend l'école.
CARACTÈRE : Glenn a vraiment un caractère versatile. Il en faut peu pour le rendre heureux comme il en faut peu pour le mettre de mauvais poil. Ayant été élevée dans une villa au milieu des vertes plaines d‘Irlande, il a la mentalité qui va avec. Les long moments de solitudes ne le dérange pas et il peut rester des heures à contempler le paysage, assis dans l'herbe, les yeux perdus dans le vague. Il aime la nature. Sa passion est la photographie et rêve de pouvoir un jour devenir grand photographe.
Avide de liberté et d'aventure, il n'hésite pas à tenter de longues escapades parmi les terrains inconnus. C'est une personne mystérieuse et secrète, actif et dynamique. Il est têtu et buté. Aussi, lorsqu'il a quelque chose en tête, il met toute les chances de son côté pour parvenir à ses fins. Lorsqu'il est de bonne humeur, il a le don de transmettre sa gaieté. Il est conviviale, espiègle et entreprenant. Ses amis l'apprécient pour son allégresse et pour son sérieux. Il aime le soleil, faire la fête, et ses amis... Sa personnalité est déroutante et il peut vous faire tourner la tête. il chante lorsqu'il est de heureux, d'ailleurs il possède une guitare et il ne s'en sépare jamais. C'est un nomade aimant la vie au grand air. Les grands territoires ensoleillés perdus entre deux plaines. Il est un grand athlète et les efforts physiques ne lui font pas peur. Avec tout ça, on pourrait le croire un peu simplet, naïf, mais il est souvent inquiet et nerveux. Des tas de pensées assaillent souvent sa tête, de ce fait il n'est pas rare qu'il passe des nuit blanches.
C'est un petite sauvage comme dirait son père. Comme dit plus haut, il tient à sa liberté; Il est digne d'une grande confiance, car il déteste mentir, manipuler, trahir des secrets,… Ce qui peut l'emmener, parfois, d’être trop franc.
Ce garçon se contente de peu, tant qu’il a les principales personnes autour de lui, il s’est s’occuper…
APPARENCE :
"La vraie beauté n'est pas celle qu'on a du plaisir à contempler, mais celle devant qui on doit fermer les yeux."

Ce jeune garçon a remarquer depuis longtemps, que son apparence attirait. Il n'en tirait as profil, mais se régalait des regard en biais que lui lançait certaines jeunes filles.
Comme la phrase plus haut, on pourrait qualifié la beauté de Glenn comme aveuglante. Mais tous les goûts sont dans la nature
Du haut de son mètre soixante-dix, et de son poids plume. Il a tout fait pour préserver son corps des agressions de la nature, et l'entretien sportivement.
Son visage est angélique, peut-être cette halo de lumière qui éblouï. Ses cheveux sont blond, sont au soleil, d'un reflet presque blanc. Ses yeux sont d'un noisette très clairs, tombant sur le doré sur les contour.
La définition de la beauté de Glenn, est la vision d'un ange.

« BIOGRAPHIE.

FAMILLE : Les parents de la famille Aggles, sont des plus banals, comme toutes les familles du monde. Le père travaille dans les affaires, et s'amuse avec les ressources du foyer, pour placer en bourse au péril de tous perdre. Erin, elle, a décidé rester mère au foyer pour pouvoir s'occuper de ses enfants. Ils se sont marié quand il avait 18ans, rencontré lors d'une soirée. Depuis, il ne se sont jamais quittés, même si, ils ont traversés de grandes crises. Après 30 de mariage, ils sont toujours ensemblen, mais leur entente s'est amoindri par le penchant pour la bourse et l'alcool de Paul.
HISTOIRE : Je ne suis pas sûr que mon auto biographie intéresse qui que ce soit et pour cause, elle n'a rien d'exaltante. C'est une vie comme d'autres, elle ne possède pas cette touche d'originalité lui donnant plus d’intérêt. . Hum, par où commencer... Tous ceux qui se sont un jour livrés à cette dure tâche qu'est l'écriture savent que le démarrage est toujours très difficile, c'est qu'il y'a tellement de choses à dire, des siècles de vie. Ok, en réalité il n'y en a que vingt mais j'ai vu tellement de trucs dans ma vie que j'ai l'impression d'en avoir vécu plus que la reine d'Angleterre.

Commençons donc par le commencement me direz-vous. C'est vrai que c'est logique mais malheureusement impossible, cette partie de ma vie est une pièce d'un puzzle que j'ai depuis longtemps perdue dans mon bordel. Ah si vous saviez à quel point j'aimerais vous conter mes déboires sans avoir à me demander ce qui précédait la première ligne de mon récit... Ma vie a débuté il y'a plus de quinze ans mais je ne m'en souviens avec précisions que d'une bonne dizaine. C'est tellement cruel... Je suis donc né dans un clinique privée de la ville de Dublin. Ma mère m'a mise au monde avec un mois d'avance alors que mes parents étaient en visite dans un musée de la ville. Déjà à cette époque, j’étais imprévisible.
Deux ans plus tard, mes parents donnèrent naissance à ma jeune sœur, nommé Alice. Elle était aussi magnifique, blonde avec des yeux resplendissant. Dès que je l’ai vu pour la première fois, je savais que j’allais m’entendre avec elle.

Huit ans plus tard, nous arrivons la campagne de Irlande. Mon père nous a fait quitter la Capitale pour affaires. A cette époque, je ne savais pas de quoi il s'agissait mais je maudissais cette putain d'activité qui lui prenait tout son temps ! Mon paternel n'était jamais là, à croire que sa vie de famille était moins importante que sa fichue carrière. Il s’amusait à jouer notre argent à la bourse, au profil de tout perdre. Y'avait de quoi péter un câble mais ma mère relativisait toujours les choses. Elle s'est bien occupée de moi,et d’Alice, une vrai maman poule. On roulait pas vraiment sur l'or mais avec ma sœur, on n'ai jamais manqué de rien. Elle a fait du mieux qu'elle pouvait pour nous rendre la vie agréable et je dois bien avouer qu'elle ne s'est pas loupée. J'ai donc grandi avec l'amour d'une mère et l'absence d'un père.

En ce temps là, j'étais un petit blondinet super sympa qui ne causait de tord à personne. J'étais aimant, serviable, attentif, gentil et en plus de cette belle panoplie, je travaillais comme un dingue à l'école, la maîtresse m'adorait. Bref, un toit sur la tête, de la nourriture sur la table à chaque repas, une mère attentionnée et de la réussite, j'avais pas à me plaindre. Je peux même vous dire que j'avais une chouette vie.

Je continuai donc sur ma lancée d'adorable petit garçon jusqu'à ma lettre d'admission dans l'école de Poudlard. Je n'en avais jamais entendu parlé. Mais je mettais rendu compte au cours de ma vie que je voyais le futur dans mes rêves. Maintenant cela s'expliquait: Le futur, tel était devenue ma vie.

« Abuse du présent. Laisse le futur aux rêveurs et le passé aux morts. »

Le lendemain de la découverte ce monde tout a basculé. Sur le chemin de la maison, mon père a commencé à cafouiller quelques propos qui me paraissaient impossibles et incohérents. Il m'a dit que j'avais intérêt à me calmer ainsi qu'à faire preuve d'un plus de respect pour l'autorité si je voulais qu'il m'enseigne son savoir faire et que je reprenne le flambeau. Ses traces, j'en avais rien à foutre. Hors de question que je les suive, pour moi, mon père ne valait rien. Ce n'était qu'un pauvre type qui s'était détaché de sa famille et qui ne m'avait pas vu grandir. Il ne me connaissait pas, ne m'avait jamais réellement regardé et ne s'était jamais intéressé à ce que je faisais ni même à ce que j'aimais. J'étais simplement un gamin qui vivait sous son toit. Je me devais de garder mes idéaux sans me poser de questions. Donc j'acceptais l'offre d'intégrer l'école.

A quelques mètres de la maison, il me fit promettre de garder tout ça pour moi. Ayant marre de toutes ses conneries, je lui crachai à la figure tout un tas de saloperies comme quoi je n'avais pas dans l'obligation de reprendre le flambeau familiale puisque je ne le considérais pas comme mon père. Je lui ai dit qu'il n'était qu'un inconnu que je haïssais et me suis mis à lui déballer tout ce que je contenais depuis des années. Il s'est pris des reproches plein la figure mais n'a rien dit. Il s'est contenté de me regarder quitter la voiture pour passer le pas de la porte de chez nous et a attendu que je claque celle ci pour se tirer avec la voiture. Le pauvre, il me faisait presque pitié à se comporter comme un vulgaire chien de salon. Je m'appliquai donc à continuer ma vie sans me soucier de lui ni de ses dires. Me retrouver dans la peau du larbin ne me tentait pas, j'avais bien plus d'ambition. J'ai toujours eu plus d'ambition... Pour ça, fallait que je me remette sérieusement au boulot. Je suis donc allé en cours à l'école de sorcellerie, pour les personnes comme moi, possédant un don.. Ça me foutait simplement les boules de me retrouver à partager le quotidien d‘inconnus, loin de ma famille. Mais la vie continu….
Arrivé dans la grande salle pour me faire répartir, le choixpeau m'envoya dans la maison de Serdaigle. De là, je commença des études, où je me révélais le meilleur de ma promo. J'ai connu le Poudlard accueillant de mes premières années, avant que le ministère ne mette son nez dans l'école. Aujourd'hui, tout est interdit, jusqu'à pratiquer la magie. Mais avec ma soeur, nous continuons nos études, et affrontons cette autorité au risque de se faire renvoyer.
Je suis en septième année, et accepte de servir l'ancien Poudlard.

PRÉNOM | PSEUDO : Mr tea
ÄGE : 19ans
PAYS : France
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TAUX DE PRÉSENCE :7/7
AVATAR : Mitch Hewer
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